Bien qu’une étude menée par le Cabinet KNIGHT FRANK aie démontré que le taux de rendement dans l’immobilier locatif (habitation, commercial, professionnel) pour les villes de Douala et Yaoundé oscille entre 7, 5 et 10 %, il n y a pas lieu de s’y focaliser exclusivement. Pour cause, le pouvoir d’achat et le niveau de vie des camerounais, ne leur permettent pas toujours de se loger décemment et de faire face aux charges locatives pour les jeunes entreprises ; toute chose qui devrait nous amener à nous intéresser davantage, à l’immobilier agricole dont les atouts attirent de plus en plus des personnes en quête de réussite économique.

A QUOI RENVOI UN TERRAIN AGRICOLE 

C’est un  site par excellence vierge, loin de toute habitation, dont la végétation est la forêt, avec pour but principal, d’accueillir des cultures diverses. Qu’il soit titré ou non, le terrain agricole a l’avantage d’être à la portée de tout le monde, constituant ainsi un préalable pour la réussite d’un projet agricole. Etant donné que la loi camerounaise en la matière, notamment l’ordonnance du 06 juillet 1974, fixe les conditions d’attribution des terres exploitées, par l’immatriculation directe et indirecte. Bien que l’on observe une déferlante vers des espaces non titrés, du fait de leur  coût d’acquisition très faible (   200 à 300 fcfa  / m²), nous préconisons d’opter pour la sécurité foncière (terrains titrés), pour une meilleure quiétude dans la mise en œuvre d’un projet agricole.

POURQUOI INVESTIR DANS L’AGRICULTURE ??

De prime à bord,   le coût d’acquisition d’un terrain agricole  titré et même viabilisé, est de loin plus attrayant  que celui d’un terrain urbain ;   A titre d’illustration, une parcelle de 500 M² en zone urbaine (Yaoundé/ Douala) coûte en moyenne FCFA 10 000 000(Dix millions) non inclus les frais de morcellement,  tandis que la même somme, donne droit à près de 20 000 m²  à environ 35 KM du centre-ville ; une superficie hautement intéressante même si 5000 m² serait suffisant pour  un potentiel investisseur ;  le retour sur investissement serait donc assuré,  par  la production des cultures de rente et de forte consommation (maïs, manioc, tomate, plantain, macabo…)  dont la demande reste importante au niveau du marché local compte tenu de la densité de la population ( 26 449 988 habitants en 2020).

Autre cas de figure, l’agriculture menée à grande échelle et selon les techniques modernes dites de nouvelles générations, a permis à certains investisseurs de booster  le PIB de notre pays ; c’est ainsi que plusieurs exploitations agricoles tenues par des privés, permettent d’approvisionner le marché local et  sous régional en denrées alimentaires .  Constituées en véritables organisations, les opérateurs agricoles sont désormais à la conquête  du marché mondial à travers l’exportation de leurs produits. A titre d’illustration, le très célèbre « poivre de pendja » a participé à donner une nouvelle vision de l’investissement agricole et suscité une véritable ruée vers la terreOn pourrait évoquer plusieurs autres cas de ces jeunes qui chaque jour, retournent à la terre comme quoi, « la terre ne ment pas ». Avec un capital des plus modestes, on aspire à beaucoup  et en très peu de temps.

Au même titre que tout autre investissement ou placement, l’investissement agricole nécessite un bon assemblage de  détermination,  de ressources et d’experts, pour mieux asseoir sa rentabilité ; c’est dans cet esprit, qu’IMMO LA CROISEE  SCI, se propose de  mettre à votre disposition, des terrains agricoles titrés et viabilisés dans certaines villes du Cameroun et de vous accompagner dans le processus de sécurisation de vos terres.

ROLANDE OMBE

Expert Immobilier en Evaluation

A.G  IMMO LA CROISEE SCI

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *